Musique / Théâtre De Béjaïa à Bruz Claire Diterzi
Tout public 1h15 Catégorie B : tarif plein 19€ / tarif réduit 14€
Claire Diterzi réinvente la vie de Tassadite, Kabyle immigrée en France pendant la Guerre d’Algérie. Avec une comédienne, un chanteur et des musicien.nes, l’autrice-compositrice signe un conte théâtral, illustré et musical, où se mêlent le rock, la voix lyrique et la musique traditionnelle. Vibrante quête des origines, cette pièce est une joyeuse célébration de la vie et de ses élans.
Tassadite, née en 1932 dans le village de Béjaïa, orpheline à 7 ans, mariée de force, débarquée au Bourget en 1955, a élevé huit enfants. La lecture de son récit a fait tinter les origines kabyles de Claire Diterzi. Elle rencontre la vieille femme, la filme, l’écoute. Elle écrit pour faire entendre le chant de sa langue, et mandate Olivier Jacques pour dessiner le portrait d’une émancipation qui résonne avec d’autres immigrations. Incarnée par Saadia Bentaïeb, la narratrice s’immerge dans les projections graphiques tandis que Claire Diterzi et le chanteur Hafid Djermaï se répondent en français et en kabyle au son de la guitare, de la mandole, de la harpe électrique et des percussions.
Jeudi 06 mars 20h30
Distribution
Ecriture et mise en scène Claire Diterzi – librement inspirée de «Tatassé – Mes rêves, mes combats – De Béjaïa à Ivry-sur-Seine» de Tassadite Zidelkhile & Christian Billères – Musiques, textes Claire Diterzi & Hafid Djemai – Conseiller dramaturgique Christian Giriat – Conception graphique, images, dessins Olivier Jacques – Création vidéo Patrick Volve – Costume Fabienne Touzi Dit Terzi – Régie Son & technique Jean-Paul Duché – Régie lumière & vidéo Rémi Cassabé – Jeu, chœur Saadia Bentaïeb – Percussions, chœur Amar Chaoui – Chant, guitare Claire Diterzi – Chant, mandole Hafid Djemai – Harpe électrique, chœur Rafaelle Rinaudo
La presse en parle
Sur fond de vidéos fascinantes Claire Diterzi se place, elle, en retrait pour fusionner joyeusement avec les musiciens : sa voix se mêle avec brio à celle d’Hafid Djemai à la mandore.
